Face
à la très hypothétique mise en œuvre du plan gouvernemental de
l’égalité, le comité de suivi n’a pas tu son inquiétude et l’a même
rendue publique dans un communiqué diffusé le 28 janvier 2015.
Les associations et réseaux qui composent le comité ont ainsi appelé le ministère de la solidarité, la femme, la famille et le développement social à prendre les dispositions nécessaires pour « activer la mise en œuvre des activités sur la base d’une approche résultats et à travers l’opérationnalisation de la commission intersectorielle de suivi du PGE et à diffuser régulièrement les rapports sur l’état d’avancement du PGE, de manière à permettre à la société civile d’en assurer le suivi et l’évaluation ». Les défenseures des droits des femmes le disent haut et fort : elles sont dans l’incapacité de procéder à une évaluation à mi-parcours d’un tel plan gouvernemental de l’égalité à cause de la rétention de l’information à laquelle elles sont confrontées.
Les associations et réseaux qui composent le comité ont ainsi appelé le ministère de la solidarité, la femme, la famille et le développement social à prendre les dispositions nécessaires pour « activer la mise en œuvre des activités sur la base d’une approche résultats et à travers l’opérationnalisation de la commission intersectorielle de suivi du PGE et à diffuser régulièrement les rapports sur l’état d’avancement du PGE, de manière à permettre à la société civile d’en assurer le suivi et l’évaluation ». Les défenseures des droits des femmes le disent haut et fort : elles sont dans l’incapacité de procéder à une évaluation à mi-parcours d’un tel plan gouvernemental de l’égalité à cause de la rétention de l’information à laquelle elles sont confrontées.
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