Communiqué du NPA, 2/3/2010
Le Nouveau Parti Anticapitaliste condamne fermement la répression féroce qui s'est abattue, le 25 février, sur les 850 ouvriers licenciés abusivement il y a six mois par l'Office Chérifien des Phosphates (OCP), groupe étatique marocain qui domine le marché mondial du phosphate.Les forces de l'ordre ont blessé des dizaines de travailleurs qui organisaient un sit-in à Khouribga, à la suite de l'interdiction de leurs précédentes tentatives de manifestations pacifiques et nombre d'entre eux ont dû être hospitalisés, dont certains dans un état grave.
Au moment où l'OCP réalise un chiffre d'affaires historique et paie grassement ses actionnaires, il licencie les ouvriers qui voulaient constituer un bureau syndical pour défendre leurs droits fondamentaux. L'OCP prive, ainsi, de toute ressource 850 familles qui vivent dans la précarité.
Le NPA réaffirme son soutien inconditionnel à la lutte légitime des ouvriers licenciés depuis juillet dernier, exige leur réintégration immédiate, la titularisation de tous les salariés et l'arrêt des poursuites judiciaires à leur encontre.
Le Nouveau Parti Anticapitaliste condamne fermement la répression féroce qui s'est abattue, le 25 février, sur les 850 ouvriers licenciés abusivement il y a six mois par l'Office Chérifien des Phosphates (OCP), groupe étatique marocain qui domine le marché mondial du phosphate.Les forces de l'ordre ont blessé des dizaines de travailleurs qui organisaient un sit-in à Khouribga, à la suite de l'interdiction de leurs précédentes tentatives de manifestations pacifiques et nombre d'entre eux ont dû être hospitalisés, dont certains dans un état grave.
Au moment où l'OCP réalise un chiffre d'affaires historique et paie grassement ses actionnaires, il licencie les ouvriers qui voulaient constituer un bureau syndical pour défendre leurs droits fondamentaux. L'OCP prive, ainsi, de toute ressource 850 familles qui vivent dans la précarité.
Le NPA réaffirme son soutien inconditionnel à la lutte légitime des ouvriers licenciés depuis juillet dernier, exige leur réintégration immédiate, la titularisation de tous les salariés et l'arrêt des poursuites judiciaires à leur encontre.
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