par Ignacio Cembrero, 27/2/2017
Suite
à l'intervention du Secrétaire général de l'ONU, le Maroc a accepté de
retirer l'avant-poste militaire déployé à l'extérieur du mur, afin
d'éviter une confrontation armée avec le Front Polisario
António Guterres, le nouveau Secrétaire général de l'ONU, donne
l'impression d'avoir une baguette magique dans le conflit du Sahara
Occidental. Avec un communiqué et quelques pourparlers il a désactivé, le week-end dernier, un incident qui était sur le point de faire dérailler
plus d'un quart de siècle de cessez-le-feu dans l'ancienne colonie
espagnole.
Plus de six mois après le début de l '«opération Guerguerat»
dans l'extrémité sud du Sahara, le Maroc revient au point de départ. Les
civils et gendarmes marocains qui, pour la première fois depuis 1991,
avaient franchi le mur militaire en août, pénétrant dans la «zone
tampon», l'oint franchi à nouveau hier, mais en sens inverse. Ils ont
donc renoncé à achever l'asphaltage de la piste d'environ cinq
kilomètres qui va du mur marocain au poste de douane mauritanien.
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