Indigènes TV https://youtu.be/fcUGDl09F_U
Ajoutée le 22 oct. 2014
Le
17 octobre 1961, 300 Algériens étaient massacrés par la police
française, des centaines étaient grièvement blessés, 15 000 autres
étaient détenus, interrogés et parfois torturés, pendant près d’une
semaine dans des stades parisiens. Leur crime : avoir manifesté pour
l’indépendance de l’Algérie et le droit des peuples à disposer
d’eux-mêmes. A ce jour, la lumière n’a toujours pas été faite sur les
acteurs institutionnels de ce crime d’État, de même que sur les
complicités actives ou passives de celui-ci.
Alors que l’on connait la
responsabilité du préfet de police Maurice Papon, les responsables
politiques français au plus haut niveau, le 1er ministre Michel Debré et
même le président de la République Charles de Gaulle, sont curieusement
épargnés jusqu’à ce jour. Mais au-delà des responsables directs,
comment expliquer le peu de réaction de la classe politique
d’opposition, celle qui aurait dû manifester à grands cris sa
réprobation et qui par son silence a couvert ce massacre ? A commencer
par la SFIO.
Rencontre autour du film de Jean-Jacques Beryl : « 17 octobre 61, l’ordre français »
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Lire aussi
http://www.monde-diplomatique.fr/mav/82/STORA/56309
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