Par Khalil Ibrahimi le 360, 19/7/2016
Mohamed Saleh Tamek, Délégué général de l'Administration pénitentiaire et de la réinsertion.
La Direction générale à l’Administration pénitentiaire
et à la réinsertion restera constamment vigilante et décidée en
permanence à appliquer la loi sans discrimination entre les prisonniers.
Elle ne cédera point devant les pressions pour accorder quelques
avantages aux uns au détriment des autres.
Suite à
la diffusion d’une vidéo fabriquée de toutes pièces sur Youtub, à
l’initiative de la dénommée Farida Aarrass -sœur du prisonnier Ali
Aarrass incarcéré pour actes terroristes-, simulant la torture de l’un
des détenus à la prison de Salé 2, la Direction générale à
l’Administration pénitentiaire et à la réinsertion apporte à l’opinion
publique les précisions suivantes :
- Le lieu d’enregistrement de la vidéo en question ne comporte aucun élément tangible à même de démontrer qu’il s’agit d’un établissement d’incarcération (prisonniers, cellules avec barres de fer, portes blindées…) ; bien que les auteurs de cette vidéo ont tenté la simulation en montrant une couverture semblable à celle utilisée par les prisonniers sauf qu’ils ont oublié un petit détail celui de la forme et de la surface de cette couverture.
- Le présumé tortionnaire a volontairement mis en exergue le badge attribué aux fonctionnaires de l’Administration pénitentiaire pour faire croire qu’il en est un. Il a toutefois oublié que la tenue «officielle» qu’il portait manque d’autres éléments distinctifs, tels que l’épaulette, le trait gris caractéristique du pantalon qui accompagne la tenue officielle des fonctionnaires ; outre le fait que l’insigne de poche était placé à gauche et non à droite comme il est d’usage au sein de l’Administration pénitentiaire.
- A observer de près le déroulé de la vidéo, on ne voit aucune trace de supplice sur les pieds dudit prisonnier «victime de torture». De même qu’il n’existe aucune marque de plaies ou lésions à même d’expliquer ou justifier les tâches de sang sur les vêtements ; des tâches dont la couleur vire au rose alors que les vraies éclaboussures de sang sont de couleur rouge pourpre. Le comble est représenté par les fausses menottes qui paraissent sur la vidéo.
- Le réalisateur de la vidéo a cité les noms de certains fonctionnaires accusés de «tortures» sans donner la moindre information sur le prisonnier supposé «victime de tortures», ce qui explique le trait caractériel de vengeance de la vidéo en question.
- L’utilisation frauduleuse de ces images, qui consistent à intoxiquer l’opinion publique, en attentant à la réputation du secteur des prisons, dans le seul but d’obtenir, par la pression sur l’administration pénitentiaire concernée, certains avantages au détriment d’autres prisonniers, tout en cherchant à se soustraire au règlement à l’intérieur de l’établissement carcéral est tout simplement infructueux. Parce que l’Administration restera constamment vigilante et toujours décidée à appliquer la loi sans discrimination et sans écart..
- Le lieu d’enregistrement de la vidéo en question ne comporte aucun élément tangible à même de démontrer qu’il s’agit d’un établissement d’incarcération (prisonniers, cellules avec barres de fer, portes blindées…) ; bien que les auteurs de cette vidéo ont tenté la simulation en montrant une couverture semblable à celle utilisée par les prisonniers sauf qu’ils ont oublié un petit détail celui de la forme et de la surface de cette couverture.
- Le présumé tortionnaire a volontairement mis en exergue le badge attribué aux fonctionnaires de l’Administration pénitentiaire pour faire croire qu’il en est un. Il a toutefois oublié que la tenue «officielle» qu’il portait manque d’autres éléments distinctifs, tels que l’épaulette, le trait gris caractéristique du pantalon qui accompagne la tenue officielle des fonctionnaires ; outre le fait que l’insigne de poche était placé à gauche et non à droite comme il est d’usage au sein de l’Administration pénitentiaire.
- A observer de près le déroulé de la vidéo, on ne voit aucune trace de supplice sur les pieds dudit prisonnier «victime de torture». De même qu’il n’existe aucune marque de plaies ou lésions à même d’expliquer ou justifier les tâches de sang sur les vêtements ; des tâches dont la couleur vire au rose alors que les vraies éclaboussures de sang sont de couleur rouge pourpre. Le comble est représenté par les fausses menottes qui paraissent sur la vidéo.
- Le réalisateur de la vidéo a cité les noms de certains fonctionnaires accusés de «tortures» sans donner la moindre information sur le prisonnier supposé «victime de tortures», ce qui explique le trait caractériel de vengeance de la vidéo en question.
- L’utilisation frauduleuse de ces images, qui consistent à intoxiquer l’opinion publique, en attentant à la réputation du secteur des prisons, dans le seul but d’obtenir, par la pression sur l’administration pénitentiaire concernée, certains avantages au détriment d’autres prisonniers, tout en cherchant à se soustraire au règlement à l’intérieur de l’établissement carcéral est tout simplement infructueux. Parce que l’Administration restera constamment vigilante et toujours décidée à appliquer la loi sans discrimination et sans écart..
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