«Quand une personne a perdu un bras, on le voit. Quelqu’un de torturé a l’air d’aller bien.»
«Je préfère qu’on me tire une balle dans la tête plutôt qu’on me dise de ne pas parler. Il y a des médicaments pour les maladies. Quand on est torturé, RACONTER CE QUI S'EST PASSÉ EST LE SEUL MÉDICAMENT»
Zakaria Moumni
«Je préfère qu’on me tire une balle dans la tête plutôt qu’on me dise de ne pas parler. Il y a des médicaments pour les maladies. Quand on est torturé, RACONTER CE QUI S'EST PASSÉ EST LE SEUL MÉDICAMENT»
Zakaria Moumni
Unique
en France, cette association parisienne aide les exilés victimes de
torture à reconstruire leur vie. Une tâche d’autant plus ardue que les
conditions de vie matérielles des migrants se dégradent.
liberation.fr
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