Luk Vervaet
Nouveau
chez Antidote ! « Je ne savais pas que les papas pouvaient pleurer »,
de Marie-Jo Fressard par Luk | août 12, 2016. | Auteurs / Collaborateurs,
Nos livres, Nouvelles Mémoires d’une fille d’Alsace sous l’occupation
allemande. 109 pages. «…
antidote.be
Marie-Jo Fressard est née à Colmar
en 1933 et vit dans les Hautes-Alpes. Elle a publié « De toutes les
couleurs », une initiation artistique pour enfants de 4 à 8 ans
(Éditions A. Casteilla, 1969) et « Avec de la Toile de Jute » (Éditions
Sélection J. Jacobs, 1969.) Avec son mari Lucien, « Randonnées autour de
Gap au fil des saisons » (Éditions Edisud, 1993). « Marraine des deux
plus anciens détenus politiques marocains » est paru en 2015 aux
Éditions Antidote. Pour le commander veuillez vous adresser à :
Belgique : contact@antidote.be Antidote: BE20000423594956 BIC
BPOTBEB1XXX France : mariejof05@gmail.com ou adresser un chèque à
Solidarité Maroc 05, 17 rue Jean Eymar, 05000 Gap Prix : 8 €, frais de
port : 1 livre : 2,80 € ; à partir de 2 livres et plus : 3,70...
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Nos dernières parutions :
Nouveau chez Antidote ! « Je ne savais pas que les papas pouvaient pleurer », de Marie-Jo Fressard
Mémoires d’une fille d’Alsace sous l’occupation allemande.
109
pages. « Lisez, puis fermez vos yeux : vous êtes dans une ville sous
occupation. Vous entendez le chant des enfants. Vous sentez l’odeur du
pain, des champignons fraichement cueillis sur les sentiers de montagne.
Voici l’éveil d’une gamine de six ans alors que l’Allemagne occupe
l’Alsace, d’une résistance à l’occupant et aux traditions morales et
religieuses étouffantes. Marie-Jo Fressard nous plonge dans la vie
d’une gamine confrontée à la guerre. Bombardements et abris antiaériens,
réfugiés, exécutions de jeunes résistants, trahisons et solidarités :
« Cette guerre de 39-45, je l’ai vécue sans vraiment me rendre compte
que nous n’avions pas une vie normale ». Cet épisode la marquera
pourtant à jamais et en fera une passionnée des montagnes et une
militante pour les droits des détenus marocains et sahraouis. Son
témoignage, préfacé par sa petite-fille Lisa, nous ouvre au bruit du
monde violent d’aujourd’hui et aux enfants syriens ou afghans qui
arrivent chez nous ». Luk Vervaet
Nouveau chez Antidote ! « & Patati & Patata » Haren : trois ans de luttes par Ernesto Moreno
BD : "&
Patati & Patata Haren" trois ans de luttes par Ernesto Moreno
Préface : Luk Vervaet Postface : Isabelle Hochart et Claire Scohier
(Inter-Environnement Bruxelles) Commande : 10 euros + 2 euros (frais
d’envoi) par virement bancaire sur Antidote, BE20 0004 2359 4956 BIC:
BPOTBEB1XXX avec mention « Patati &...
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Le bonheur est parti avec toi
Le dimanche 20 mai 2013, la vie de Samira bascule définitivement.
Comme chaque dimanche, étonnée que sa fille Nora ne soit pas encore
levée, elle monte dans sa chambre. Son lit est vide. Des bruits courent à
Vilvorde que Nora est partie en Syrie. Nora venait d’avoir 18 ans.
C’est le début d’un long calvaire et d’un long combat. « Le témoignage,
vibrant et sans concession, que nous propose Samira Laakel revêt, dans
le contexte actuel, une importance capitale. Il ne s’agit plus d’un
récit de seconde main mais d’une histoire de vie. L’histoire d’une
maman, dévastée par le départ de sa fille pour le djihad, qui tente par
son témoignage de donner chair à des concepts froids, manipulés depuis
de longs mois par l’ensemble des médias. Une détresse insondable qui se
double d’une douloureuse absence d’espoir. Samira parle de tout, sans
censure aucune. Toujours avec pudeur et dignité. » Bernard De Vos
Délégué général aux droits de l’enfant...
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Marraine des deux plus anciens détenus politiques marocains
Marie-Jo Fressard est une militante française pour les droits
humains. Elle a 11 ans, en 1944, quand les troupes alliées libèrent sa
ville d’Alsace. Elle y fait la rencontre d’un tirailleur marocain, venu
de si loin pour libérer la France. Il lui inspirera sa fascination pour
le Maroc. En 1990, la lecture de « Notre ami le Roi » de Gilles Perrault
la bouleverse. Sa vision du Maroc ne sera plus jamais la même. Elle
décide d’agir. Elle vient en aide à Ahmed Chahid et Ahmed Chaïb, deux
prisonniers politiques marocains, condamnés à mort en 1983 pour «
atteinte aux intérêts suprêmes de l’État marocain ». Ils se trouvent
depuis vingt ans derrière les barreaux quand Marie-Jo devient leur
marraine. Sa seule détermination fera changer bien des choses...
Préface de Gilles Perrault, postface de Khadija Ryadi
Bloot of Boerka
Een book van Eric Hulsens (*) Een nudist die de boerka verdedigt?
Een atheïst die opkomt voor de islam? Een verdediger van de vrije
meningsuiting die met rotte tomaten gooit naar Benno Barnard? Een
democraat die wakke plekken ziet in de theorieën van Paul Cliteur? Een
schrijver die Geert Van Istendael en de Pen-club uitlacht? Een brave
huisvader die neerkijkt op de pedohysterie in België? Een pacifist die
een Iraanse atoombom wenst? Een vrijzinnige die het liberalisme van Dirk
Verhofstadt bespottelijk vindt? Een liberaal die de MR extremistisch
acht? Een vrijdenker die Etienne Vermeersch een dwaallicht noemt? Dat
bestaat toch niet? Toch wel, lees maar! (*) Eric Hulsens, (°1949),
studeerde Nederlandse, Duitse en Engelse taal en literatuur en filosofie
in Antwerpen en Leuven. Hij publiceerde over kinderliteratuur en
sprookjes, en werkte mee aan het Groot Retorisch Woordenboek. Hij
schreef onder meer voor De Nieuwe, De Groene Amsterdammer en De
Standaard der...
La faillite de la politique occidentale en Orient
Un livre d’Ahmed Riza Bey (*) Cet ouvrage d’Ahmed Riza Bey, édité
pour la première fois en 1922, sera pour le lecteur d’une étonnante
pertinence pour expliquer l’état actuel de notre monde et la dramatique
situation dans laquelle est plongé le Moyen Orient d’aujourd’hui. « La
publication de mon ouvrage coïncide avec une époque où — conséquence
fatale de la guerre — le fanatisme et le chauvinisme se sont de nouveau
réveillés dans le monde. Une honteuse reculade se manifeste un peu
partout. L’orgueil national, le mépris des autres nations, sont poussés,
chez quelques-uns, jusqu’à la démence. L’intérêt politique paraît
s’unir encore une fois à l’intérêt religieux. Je signale précisément
comme exemple les méfaits de ce fanatisme dans le passé, afin d’éviter
le danger que les haines subsistantes peuvent engendrer dans l’avenir ».
(*)Ahmed Riza nait en 1858 à Constantinople, capitale de l’Empire
ottoman. Fils d’Ali Riza Bey, conseiller du Sultan Abdelaziz, du Sultan
Mourad et du Sultan Abdulhamid, il appartient à une famille de hauts
fonctionnaires du Palais. En 1884, affligé par la situation de la
paysannerie turque, Ahmed Riza émigre à Paris et suit des études
d’Agronomie. Il y adoptera le positivisme d’Auguste Comte. En 1889,
Ahmed Riza revient à Constantinople et est nommé directeur de la Haute
Ecole de Bursa. La même année, s’indignant du règne despotique
d’Abdulhamid II, Ahmed Riza profite d’une invitation à la grande
exposition universelle de Paris pour s’exiler et rejoindre le mouvement «
Jeunes Turcs ». Très influencé par le constitutionnalisme et le
parlementarisme, il dirige en 1895, depuis la capitale française, la
revue Meşveret et devient le leader de la société Ittihad ve Terakki
Cemiyetti (Comité d’Union et Progrès) qui deviendra le premier parti
politique turc, connu aussi sous le nom de « Jeunes Turcs »[1] Il est le
plus illustre représentant de l’aile « occidentale » du parti. Ahmed
Riza met fin à son exil lors de la proclamation de la Constitution de
1908. À son retour au pays, il siège comme premier président de la
Chambre Ottomane des Députés jusqu’en 1912. En 1915, durant le génocide
arménien, Ahmed Riza se montre très critique envers les lois sur la
confiscation des biens et la déportation des arméniens en dehors de
l’empire. De 1918 à 1919, il est élu président du Sénat ottoman. Dès
1922, Ahmed Riza s’éloigne du monde politique et fait publier « La
faillite morale de la politique occidentale en Orient ». Il meurt en
1930, en même temps que disparaît Constantinople, devenue Istanbul.
[1]Le Comité d’Union et Progrès (C.U.P.) est l’opposition la plus
sérieuse au régime despotique du sultan Abdulhamid II et provoque sa
déposition du 27 avril 1909. Ahmed Riza Bey quitte le C.U.P. et proteste
contre la violence morale et physique qu’exerce le parti sur les
personnes aux opinions...
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