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vendredi 12 août 2016

Nouveau chez Antidote ! Je ne savais pas que les papas pouvaient pleurer, de Marie-Jo Fressard

Luk Vervaet 


Nouveau chez Antidote ! « Je ne savais pas que les papas pouvaient pleurer », de Marie-Jo Fressard par Luk | août 12, 2016.  | Auteurs / Collaborateurs, Nos livres, Nouvelles Mémoires d’une fille d’Alsace sous l’occupation allemande. 109 pages. «…
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Nouveau chez Antidote ! « Je ne savais pas que les papas pouvaient pleurer », de Marie-Jo Fressard

Mémoires d’une fille d’Alsace sous l’occupation allemande. 
109 pages. « Lisez, puis fermez vos yeux : vous êtes dans une ville sous occupation. Vous entendez le chant des enfants. Vous sentez l’odeur du pain, des champignons fraichement cueillis sur les sentiers de montagne. Voici l’éveil d’une gamine de six ans alors que l’Allemagne occupe l’Alsace,  d’une résistance à l’occupant et aux traditions morales et religieuses étouffantes. Marie-Jo Fressard nous plonge dans la vie d’une gamine confrontée à la guerre. Bombardements et abris antiaériens, réfugiés, exécutions de jeunes résistants, trahisons et solidarités : « Cette guerre de 39-45, je l’ai vécue sans vraiment me rendre compte que nous n’avions pas une vie normale ». Cet épisode la marquera pourtant à jamais et en fera une passionnée des montagnes et une militante pour les droits des détenus marocains et sahraouis. Son témoignage, préfacé par sa petite-fille Lisa, nous ouvre au bruit du monde violent d’aujourd’hui et aux enfants syriens ou afghans qui arrivent chez nous ». Luk Vervaet 
 
  Marie-Jo Fressard est née à Colmar en 1933 et vit dans les Hautes-Alpes. Elle a publié « De toutes les couleurs », une initiation artistique pour enfants de 4 à 8 ans (Éditions A. Casteilla, 1969) et « Avec de la Toile de Jute » (Éditions Sélection J. Jacobs, 1969.) Avec son mari Lucien, « Randonnées autour de Gap au fil des saisons » (Éditions Edisud, 1993). « Marraine des deux plus anciens détenus politiques marocains » est paru en 2015 aux Éditions Antidote.  
 
 Pour le commander veuillez vous adresser à : Belgique : contact@antidote.be  Antidote: BE20000423594956  BIC BPOTBEB1XXX 
France : mariejof05@gmail.com ou adresser un chèque à Solidarité Maroc 05, 17 rue Jean Eymar, 05000 Gap 
Prix : 8 €, frais de port : 1 livre : 2,80 € ; à partir de 2 livres et plus : 3,70... 


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Nouveau chez Antidote ! « & Patati & Patata » Haren : trois ans de luttes par Ernesto Moreno

BD : "& Patati & Patata Haren" trois ans de luttes par Ernesto Moreno 
 Préface : Luk Vervaet Postface : Isabelle Hochart et Claire Scohier 
(Inter-Environnement Bruxelles)   Commande : 10 euros + 2 euros (frais d’envoi) par virement bancaire sur Antidote, BE20 0004 2359 4956 BIC: BPOTBEB1XXX  avec mention « Patati &... 
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Le bonheur est parti avec toi

Le dimanche 20 mai 2013, la vie de Samira bascule définitivement. 
  Comme chaque dimanche, étonnée que sa fille Nora ne soit pas encore levée, elle monte dans sa chambre. Son lit est vide. Des bruits courent à Vilvorde que Nora est partie en Syrie. Nora venait d’avoir 18 ans. C’est le début d’un long calvaire et d’un long combat. « Le témoignage, vibrant et sans concession, que nous propose Samira Laakel revêt, dans le contexte actuel, une importance capitale. Il ne s’agit plus d’un récit de seconde main mais d’une histoire de vie. L’histoire d’une maman, dévastée par le départ de sa fille pour le djihad, qui tente par son témoignage de donner chair à des concepts froids, manipulés depuis de longs mois par l’ensemble des médias. Une détresse insondable qui se double d’une douloureuse absence d’espoir. Samira parle de tout, sans censure aucune. Toujours avec pudeur et dignité. » Bernard De Vos Délégué général aux droits de l’enfant...
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Marraine des deux plus anciens détenus politiques marocains

Marie-Jo Fressard est une militante française pour les droits humains. Elle a 11 ans, en 1944, quand les troupes alliées libèrent sa ville d’Alsace. Elle y fait la rencontre d’un tirailleur marocain, venu de si loin pour libérer la France. Il lui inspirera sa fascination pour le Maroc. En 1990, la lecture de « Notre ami le Roi » de Gilles Perrault la bouleverse. Sa vision du Maroc ne sera plus jamais la même. Elle décide d’agir. Elle vient en aide à Ahmed Chahid et Ahmed Chaïb, deux prisonniers politiques marocains, condamnés à mort en 1983 pour « atteinte aux intérêts suprêmes de l’État marocain ». Ils se trouvent depuis vingt ans derrière les barreaux quand Marie-Jo devient leur marraine. Sa seule détermination fera changer bien des choses... 
Préface de Gilles Perrault, postface de Khadija Ryadi
 

Bloot of Boerka

Een book van Eric Hulsens (*) Een nudist die de boerka verdedigt? Een atheïst die opkomt voor de islam? Een verdediger van de vrije meningsuiting die met rotte tomaten gooit naar Benno Barnard? Een democraat die wakke plekken ziet in de theorieën van Paul Cliteur? Een schrijver die Geert Van Istendael en de Pen-club uitlacht? Een brave huisvader die neerkijkt op de pedohysterie in België? Een pacifist die een Iraanse atoombom wenst? Een vrijzinnige die het liberalisme van Dirk Verhofstadt bespottelijk vindt? Een liberaal die de MR extremistisch acht? Een vrijdenker die Etienne Vermeersch een dwaallicht noemt? Dat bestaat toch niet? Toch wel, lees maar!   (*) Eric Hulsens, (°1949), studeerde Nederlandse, Duitse en Engelse taal en literatuur en filosofie in Antwerpen en Leuven.  Hij publiceerde over kinderliteratuur en sprookjes, en werkte mee aan het Groot Retorisch Woordenboek. Hij schreef onder meer voor De Nieuwe, De Groene Amsterdammer en De Standaard der...

La faillite de la politique occidentale en Orient

Un livre d’Ahmed Riza Bey (*) Cet ouvrage d’Ahmed Riza Bey, édité pour la première fois en 1922, sera pour le lecteur d’une étonnante pertinence pour expliquer l’état actuel de notre monde et la dramatique situation dans laquelle est plongé le Moyen Orient d’aujourd’hui. « La publication de mon ouvrage coïncide avec une époque où — conséquence fatale de la guerre — le fanatisme et le chauvinisme se sont de nouveau réveillés dans le monde. Une honteuse reculade se manifeste un peu partout. L’orgueil national, le mépris des autres nations, sont poussés, chez quelques-uns, jusqu’à la démence. L’intérêt politique paraît s’unir encore une fois à l’intérêt religieux. Je signale précisément comme exemple les méfaits de ce fanatisme dans le passé, afin d’éviter le danger que les haines subsistantes peuvent engendrer dans l’avenir ».   (*)Ahmed Riza nait en 1858 à Constantinople, capitale de l’Empire ottoman. Fils d’Ali Riza Bey, conseiller du Sultan Abdelaziz, du Sultan Mourad et du Sultan Abdulhamid, il appartient à une famille de hauts fonctionnaires du Palais. En 1884, affligé par la situation de la paysannerie turque, Ahmed Riza émigre à Paris et suit des études d’Agronomie. Il y adoptera le positivisme d’Auguste Comte. En 1889, Ahmed Riza revient à Constantinople et est nommé directeur de la Haute Ecole de Bursa. La même année, s’indignant du règne despotique d’Abdulhamid II, Ahmed Riza profite d’une invitation à la grande exposition universelle de Paris pour s’exiler et rejoindre le mouvement « Jeunes Turcs ». Très influencé par le constitutionnalisme et le parlementarisme, il dirige en 1895, depuis la capitale française, la revue Meşveret et devient le leader de la société Ittihad ve Terakki Cemiyetti (Comité d’Union et Progrès) qui deviendra le premier parti politique turc, connu aussi sous le nom de « Jeunes Turcs »[1] Il est le plus illustre représentant de l’aile « occidentale » du parti. Ahmed Riza met fin à son exil lors de la proclamation de la Constitution de 1908. À son retour au pays, il siège comme premier président de la Chambre Ottomane des Députés jusqu’en 1912. En 1915, durant le génocide arménien, Ahmed Riza se montre très critique envers les lois sur la confiscation des biens et la déportation des arméniens en dehors de l’empire. De 1918 à 1919, il est élu président du Sénat ottoman. Dès 1922, Ahmed Riza s’éloigne du monde politique et fait publier « La faillite morale de la politique occidentale en Orient ». Il meurt en 1930, en même temps que disparaît Constantinople, devenue Istanbul. [1]Le Comité d’Union et Progrès (C.U.P.) est l’opposition la plus sérieuse au régime despotique du sultan Abdulhamid II et provoque sa déposition du 27 avril 1909. Ahmed Riza Bey quitte le C.U.P. et proteste contre la violence morale et physique qu’exerce le parti sur les personnes aux opinions... 
 

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