par Ali Fkir, 28/05/2009
SN CITY WASH, est une grande société spécialisée dans le "sablage, délavage et teinture industriels " des produits de confection (textile). Elle emploie entre 400 et 600 ouvriers et ouvrières (selon le niveau de l'activité).
Le patron ne veut pas de syndicat "chez lui". Comme tant d'autres( patrons), il se situe au dessus de la loi.
Devant le non respect délibéré du code de travail par le patron (la durée de travail hebdomadaire, taux horaire, rémunération des heures supplémentaires, la déclaration à la CNSS, le respect de la dignité des travailleurs et des travailleuses...), les ouvriers et les ouvrières décidèrent de rejoindre les rangs de l'UMT (droit garanti par la constitution du pays), et ce le 30 avril 2009.
La réaction du patron ne s'était pas faite attendre:licenciement de 22 syndicalistes.
Le patron refuse toute discution malgré les convocations qu'il reçoit des autorités concernées.
Cette attitude illégale et méprisante a poussé les travailleurs et les travailleuses à organisé un sit in devant l'usine de CITY WASH en présence des représentants de l'UMT et des délégué-es des ouvriers et ouvrières de certaines entreprises, et ce le jeudi 28 mai 2009.
Les patrons se situent au dessus de la loi grâce à la complicité des divers appareils de l'Etat. Ils se sentent forts devant la faiblesse de la résistance ouvrière. La classe ouvrière ne peut relever le défi sans:
- L'unité syndicale
- La lutte organisée et consciente comme arme principale
- La solidarité ouvrière
- La conscience de classe: l'engagement politique militant, la conscience idéologique socialiste.
- Le parti politique propre à la classe ouvrière.
Il ne faut pas laisser la politique aux politicards bourgeois qui ne pensent qu'à leurs intérêts de classe.
La classe ouvrière marocaine est victime des manoeuvres scissionnistes des partis bourgeois, de la répression policière de l'Etat et des intrigues des bureaucrates tout azimut.
SN CITY WASH, est une grande société spécialisée dans le "sablage, délavage et teinture industriels " des produits de confection (textile). Elle emploie entre 400 et 600 ouvriers et ouvrières (selon le niveau de l'activité).
Le patron ne veut pas de syndicat "chez lui". Comme tant d'autres( patrons), il se situe au dessus de la loi.
Devant le non respect délibéré du code de travail par le patron (la durée de travail hebdomadaire, taux horaire, rémunération des heures supplémentaires, la déclaration à la CNSS, le respect de la dignité des travailleurs et des travailleuses...), les ouvriers et les ouvrières décidèrent de rejoindre les rangs de l'UMT (droit garanti par la constitution du pays), et ce le 30 avril 2009.
La réaction du patron ne s'était pas faite attendre:licenciement de 22 syndicalistes.
Le patron refuse toute discution malgré les convocations qu'il reçoit des autorités concernées.
Cette attitude illégale et méprisante a poussé les travailleurs et les travailleuses à organisé un sit in devant l'usine de CITY WASH en présence des représentants de l'UMT et des délégué-es des ouvriers et ouvrières de certaines entreprises, et ce le jeudi 28 mai 2009.
Les patrons se situent au dessus de la loi grâce à la complicité des divers appareils de l'Etat. Ils se sentent forts devant la faiblesse de la résistance ouvrière. La classe ouvrière ne peut relever le défi sans:
- L'unité syndicale
- La lutte organisée et consciente comme arme principale
- La solidarité ouvrière
- La conscience de classe: l'engagement politique militant, la conscience idéologique socialiste.
- Le parti politique propre à la classe ouvrière.
Il ne faut pas laisser la politique aux politicards bourgeois qui ne pensent qu'à leurs intérêts de classe.
La classe ouvrière marocaine est victime des manoeuvres scissionnistes des partis bourgeois, de la répression policière de l'Etat et des intrigues des bureaucrates tout azimut.
demande de travalle
RépondreSupprimer